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" On commence à faire du SIG

" On commence à faire du SIG quand on s'arrête à faire de la topographie de précision ou de la statistique"

A partir de quelque chose, non ?

Vous restez dans une logique probabiliste, qui est l'aspect que j'ai développé ici à l'aide d'un exemple  « topographique ». C'est l'aspect le plus pratique puisqu'il influence directement les résultats des calculs. Alors oui, ce n'est peut-être pas du vrai traitement SIG, mais c'est une démarche qui est effectuée dans tous les traitements scientifiques (depuis le premier laboratoire de chimie, dans mon cas). Et cette approche n'est pas suffisamment  prise en compte dans le domaine des logiciels SIG ou alors c'est que les "veritables" traitements SIGs ne sont pas des traitements scientifiques, ce que je ne crois pas.

Mais, comme je l'ai signalé, en raisonnant dès le départ sous la contrainte de l'incertitude, c'est différent. Des vrais traitements SIG sont effectués sur base des ensembles flous (notamment en géologie, prospection minière), de la statistique bayésienne (prospection pétrolière,  épidémiologie,par exemple) ou en utilisant le modèle de Dempster-Shafer (gestion des risques).  Au bout de ces traitements, il y a toujours des cartes qui aident à prendre des décisions. Si ce ne sont pas des traitements SIGs, c'est quoi ?

Quand aux problèmes de l'échelle et de la représentation des données, c'est aussi un cas classique des incertitudes, bien étudié et illustré dans les diverses références citées. Ils illustrent aussi le cas des traitements "intermédiaires" (jointure spatiale, intersection, union, comptage, etc) comme dans les articles publiés dans la  revue Journal of Geographical Systems.

Les références données par Nicolas Py (n314) dans la suite sont aussi démonstratives. Il suffit d'aller sur le site

 

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