Skip to Content

Foire Aux Questions - Généralités

Auteurs : Olivier / Vince
  • La géodatabase personnelle

Une géodatabase personnelle utilise le moteur de bases de données Microsoft Jet, et peut donc être assimilée à une base de données de type Access pour les données attributaires.

Ce format concerne des bases de données géographiques allant jusqu'à 2 Go d'espace-disque.

Une géodatabase personnelle peut être lue par plusieurs utilisateurs, mais éditée par un seul d'entre eux. De plus, elle ne supporte pas le versionnement.

Enfin, elle ne permet de gérer que des relations de topologie simples et temporaires.

Tous les produits ESRI (ArcView, ArcEditor, ArcInfo) peuvent la lire et l'éditer sans extension.

  • La géodatabase multi-utilisateurs, versionnée

La géodatabase multi-utilisateurs peut fonctionner avec plusieurs types de modèles de bases de données, comme IBM DB2, Informix, Microsoft SQL Server, Oracle...

Ce format est destiné à des bases de données lourdes (au delà de 2 Go), qui doivent être lues et éditées par de multiples utilisateurs. D'où la gestion du versionnement.

De plus, elle permet de stocker en "dur" des relations de topologie entre les entités d'une classe.

La géodatabase multi-utilisateurs peut être lue par les trois produits ArcGIS, mais ne peut être éditée que par ArcEditor et ArcInfo. De plus, elle requiert l'installation de ArcSDE.

Auteurs : Olivier / Vince
  • Un outil unique,
  • Meilleure organisation des données,
  • Exploitation des tables attributaires dans un SGBD (ex : Access),
  • Conservation du modèle relationnel sous le SGBD,
  • Affichage d’un formulaire Access sous ArcMap,
  • Regroupement des fichiers sous une même base de données (un seul fichier),
  • Calcul automatique des linéaires et surfaces des objets géographiques.
Auteurs : Olivier / Vince
  • On peut créer une base de données Access ou une géodatabase,
  • La création de classe d’entités se fait sous ArcCatalog ou sous ArcMap via ArcToolbox,
  • On ne doit pas toucher à la structure d’une table d’une classe d’entité sous le SGBD. Les modifications de structure doivent se faire sous ArcCatalog ou ArcMap,
  • On ne doit pas supprimer ou rajouter d’enregistrement dans les tables des classes d’entités dans Access. Utiliser ArcMap ou ArcCatalog.
Auteurs : Olivier / Vince

Un jeu de classes d'entités de géodatabase a un espace de données restreint dans une certaine 'couverture spatiale'.

C'est à dire que sa couverture est définie par un X et un Y maximum et minimum.

La 'couverture' du jeu de classes d'entités est déterminée par la première classe d'entités créée ou importée, ou peut être spécifiée à la création du jeu de classes.

Ainsi, si ArcGIS renvoie un message du type "Impossible d'achever la tâche de création. Les coordonnées ou les mesures ne sont pas comprises dans la plage autorisée", c'est que vous essayez de créer une entité en dehors de cette couverture.

Pour éviter ce genre de désagrément, il est conseillé d'importer une première couche (ou de définir un domaine spatial) couvrant toute la zone de travail possible.

Auteurs : Olivier / Vince

Une géodatabase créée dans ArcGIS 8.x est consultable dans les versions 9.x. En revanche, il est nécessaire de mettre à niveau la géodatabase quand on passe définitivement à la version supérieure afin de prendre en compte toutes les fonctionnalités. Mais attention dans ce cas vous perdez la compatibilité avec les versions antérieures. Pour ce faire :

  • Cliquer droit sur la géodatabase à partir d'ArcCatalog
  • Sélectionner "propriétés"
  • Dans l'onglet "Général", cliquer sur le bouton "Mettre à niveau la géodatabase personnelle".

Une géodatabase créée dans ArcGIS 9.x n'est pas consultable dans les versions 8.x.

Auteur : Olivier
  • ArcReader : Il existe ArcReader de la même société (ESRI). Mais il faut en revanche que cette géodatabase soit accessible à partir d'une carte générée par ArcGIS Publisher (Extension payante).
  • Geomatica Freeview : Voir le site de l'éditeur